Archive for July, 2011
You are currently browsing the et pendant ce temps là au 4ème… blog archives for July, 2011.
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Lorsque l’on parle de cinéma et de bon gros blockbusters de vacances (ce n’est pas péjoratif) on ne peut passer à côté de films tels que du transformers3, du fast five, de Batman……certains de ces films sont très bien fait dans leur genre et n’ont aucunes autres prétentions au-delà de l’écran noir et du popcorn. Malheureusement ce dernier film du phénomène Harry Potter fait parti de ces blockbusters maudits ie dispensable. Pourquoi ? Entrons donc dans le vif du sujet.
Comme d’habitude voilà un petit historique de la série : Un jeune sorcier (harry) survit à l’attaque d’un super mechant (voldemort) malheureusement la transaction se solde par la mort des parents du pov’ gosse et une cicatrice sur le front qui le défigure complètement (en tout cas dans les films vu les expression d’huitre digne de mauvaises séries brésiliennes qui donne à chaque fois qu’on lui demande de paraître autre chose qu’antipathique). Mais heureusement que le super mechant meurt aussi car son attaque ricoche sur Harry (fameuse technique du « toi-même, dans ta face » des cours d’école). Avec l’aide de ses amis Ron (le roux) et Hermione (la future bonne meuf en devenir), ils déjouent tour à tour les sales coups de voldemort pour retrouver sa puissance. Cela commence il y a 10ans avec les deux premiers films : bien fait et même s’ils sont à l’origine pour un public jeune, on se laisse porter sans aucuns efforts dans l’histoire. Ensuite sauvons le 3eme (le meilleur de la série) qui prend une tournure bien plus noir grâce à Alfonso Cuaron (réalisateur). Le 4° dégage du torchon écrit par Rowling, un blockbuster honnête (oui je sais c’est un oxymore assez étrange (oxymore étrange, étant un pléonasme). Mais voilà le faux pas, David Yates (réalisateur et occasionnellement étron cinématographique) nous sert à partir du 5eme opus de la véritable merde numérique. Bref le mec qui passe tout au filtre bleu, qui n’a jamais réalisé un film (je ne parle pas de TV-film) de sa vie avant HP et qui chie chaque année sur le cinéma avec son Harry Potter et qui devrait rendre fous les fans des bouquins tellement c’est pourri. Mais bon, ça ne veut pas dire que les livres sont géniaux, contrairement à ce qu’on peut entendre un peu partout, Rowling n’a aucun style, ne capte rien aux influences qu’elle place dans son livre, et puis invente son univers au fur et à mesure (grand travers des mauvais bouquins de fantasy, SF ou autre…..antoine pourra confirmer J). Rowling elle capte non seulement rien à l’écriture d’un univers de fantasy, mais ne capte rien non plus à l’écriture en elle-même : livres fast food lu en quelques petites heures malgré le nombre de pages (c’est dire la complexité de la langue utilisée) on pourra toujours dire au moins ce n’est pas Marc levy. Au cinéma c’est pire encore, parce si Newell s’en foutait un peu de la saga et modifie ça pour le cinéma, le rendant spectaculaire, Cuaron l’assombrissant, Yates lui pratique juste des ellipses débiles rendant l’histoire trouble (pourtant avec un aussi gros budget on aurait pu penser qu’ils ont embauché des scénaristes non ?), on passe du coq à l’âne, des persos sortent de nulle part (david schiffer). On se retape donc tous les travers des précédents films de Yates, mise en scène à la ramasse, tout semble bâclé, sans fond et sans recul sur l’histoire, photo immonde toute bleue et personnages lisses à souhait. Et même le méchant, il veut quoi en fait ? Tuer HP juste pour pouvoir se branler sur qui est le plus fort ? Le pouvoir ? Mais il veut faire quoi de son pouvoir ? Il veut gouverner le monde ? Tuer des Humains ? Ce n’est pas avec sa tête de bitte qu’il va tirer des jeunes pucelles. Et puis c’est bien que le plus grand sorcier qui déchire sa race de tous les temps (le Vin diesel de la magie en somme) se fasse aussi facilement tenir tête par qui ? Trois gosses dont un orphelin binoclar, une batarde (mi humaine / mi sorcier / mi « j’oublie ma culotte le jour de mes 18ans) et un roux (gingers have souls…..you’re not God…bouhh). Surtout qu’ils font des trucs réputés impossible et en fait ça paraît super facile tout le temps….qu’est ce que c’est con. Ça manque totalement d’enjeux et du coup cela sonne terriblement vide. Et puis ce n’est pas comme si la fin n’était pas prévisible 150 000 ans en avance. Bref ça ne vaut rien, ce n’est même pas intéressant. Les scènes de combats (on peut dire ça ?) sont nulles, le combat final est expédié. C’est vraiment dommage, le final aurait pu être grandiose si l’auteure n’avait pas écrit la fin sur un coin de nappe dans une cafet (pour plagier la critique du monde) Et ça m’énerve les films où il y a des ados, et que la tension sexuelle se résume à un bisou vite fait. Un point positif quand même, j’ai trouvé les effets spéciaux très bien fait. Donc je déconseille fortement.
gel d’actin fluo qui croit autour de billes coatées avec un activateur